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En 1972, Bob Fosse réalise
Cabaret, un film musical américain tiré du livre Goodbye
to Berlin écrit
par Christopher Isherwood. Nous passons 124 minutes, en compagnie de
Liza Minnelli, Michael York, Helmut Griem et Joel Grey, qui
dépeignent
un tableau
du nazisme. Le film fait ainsi de nombreuses références a
l’expressionnisme
allemand.
Au début des années 1930,
Brian, étudiant anglais, débarque à Berlin pour écrire sa thèse
de philosophie. Il loue une chambre à Sally, une danseuse de
cabaret. Ils finissent par tomber amoureux. Mais ils vont croiser la
route de Maximilien, un riche aristocrate qui va les séduire tous
les deux. Il les abandonne en laissant Sally enceinte sans qu'elle
sache l'identité du père. Brian propose à Sally de l'épouser et
de fonder leur famille à Cambridge loin de l'univers du cabaret.
Mais Sally finit par se rendre compte qu'elle ne peut se résoudre à
cette vie trop calme...
Le film nous plonge dans une
ambiance très spéciale, avec ses décors et ses personnages à la
fois attachants et excentriques. Le maître de cérémonie du cabaret
nous a surpris par son caractère, son originalité et sa féminité
qui font de lui un personnage fantasque. Tel un chef d'orchestre, il
commente en chanson les principales scènes du film. Sally est tout
aussi intrigante par sa façon d'être, son maquillage, son
apparence, sa façon de s'exprimer et son attitude infantile face à
la vie. Mais ce qui choque le plus ce sont les relations ambiguës
entre les personnages, le duo Brian-Sally, le trio
Maximilien-Brian-Sally, et la relation Natalia-Fritz.
Nous nous attendions à voir un film plus ancien qui aurait été tourné dans les années 30 alors que nous avons assisté à la projection d'un film datant des années 70. Beaucoup d'éléments du film nous ont plu. Tout d'abord, l'histoire riche en rebondissements et les personnages très surjoués. Les costumes flamboyants et très originaux ont ravi nos yeux, de même que les décors, qui font écho à l’expressionnisme allemand. Nous avons d'ailleurs fortement apprécié les nombreuses références artistiques telles que le portrait de La journaliste Sylvia Von Harden du célèbre peintre Otto Dix.
Nous nous attendions à voir un film plus ancien qui aurait été tourné dans les années 30 alors que nous avons assisté à la projection d'un film datant des années 70. Beaucoup d'éléments du film nous ont plu. Tout d'abord, l'histoire riche en rebondissements et les personnages très surjoués. Les costumes flamboyants et très originaux ont ravi nos yeux, de même que les décors, qui font écho à l’expressionnisme allemand. Nous avons d'ailleurs fortement apprécié les nombreuses références artistiques telles que le portrait de La journaliste Sylvia Von Harden du célèbre peintre Otto Dix.
Les chansons interprétées
au cabaret étaient toutes réussies, pleines d’entrain et de bonne
humeur, elles répondent à des scènes violentes ce qui crée un
contraste intéressant.
Enfin,
ce film nous a permis de suivre la
montée du nazisme, dont l'évocation apporte
un fond de
noirceur au film.
Candice
EVELOY, Léa HUSSON & Manon PETIOT 1L2
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